La problématique des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), largement débattus dans les pays du Nord et au niveau de leurs consommateurs, reçoit un faible écho en Afrique de l’Ouest et du Centre du fait de la quasi-absence d’informations utiles pour permettre aux acteurs publics et privés de formuler une opinion sur le sujet. L’auteur, après avoir fait le bilan de l’évolution des biotechnologies nouvelles en Afrique subsaharienne, propose une série de solutions dont : (i) l’organisation de conférences destinées à la sensibilisation des acteurs au développement ; (ii) la création d’un cadre réglementaire harmonisé et (iii) la valorisation des acquis pour offrir aux Etats les outils nécessaires à l’élaboration de politiques et stratégies adaptées.
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